Du 04/03 au 08/03/2024

Cette semaine, les colles de Physique sont consacrées à :

  • la mécanique du point, aspect énergétique compris (chapitres C1, C2 et C3) ;
  • la physique des ondes (chapitre B8).

Remarque pour les interrogateurs :
1. J’ai fait le choix de ne pas introduire dès maintenant l’opérateur gradient (nous le verrons plus tard dans l’année). Ainsi le lien entre une force conservative et l’énergie potentielle dont elle dérive est dE_p=-\overrightarrow{F_c}\cdot d\overrightarrow{OM}.
2. Si un exercice traite des interférences lumineuses, la formule de Fresnel doit être fournie, conformément au programme de PCSI.
Je rappelle que la liste exhaustive des connaissances et capacités exigibles en colles chaque semaine est fournie dans l’onglet « Exercice(s) » ci-dessous.

Bonnes colles !

CINEMATIQUE

Espace et temps classiques. Référentiel d’observation. Caractère relatif du mouvement.

Description d’un mouvement. Vecteur position, vecteur vitesse, vecteur accélération.
– Savoir établir les expressions des composantes du vecteur position, du vecteur vitesse et du vecteur accélération dans le seul cas des coordonnées cartésiennes et cylindriques.
– Savoir expliquer à partir d’un schéma le déplacement élémentaire dans les différents systèmes de coordonnées, construire la base locale associée et en déduire les composantes du vecteur vitesse en coordonnées cartésiennes et cylindriques.
– Savoir choisir un système de coordonnées adapté au problème posé.

Exemple 1 : mouvement de vecteur accélération constant
– Obtenir la vitesse et la position en fonction du temps. Obtenir la trajectoire en coordonnées cartésiennes.

Exemple 2 : mouvement circulaire uniforme et non uniforme
– Savoir exprimer les composantes du vecteur position, du vecteur vitesse et du vecteur accélération en coordonnées polaires planes.
– Identifier les liens entre les composantes du vecteur accélération, la courbure de la trajectoire, la norme du vecteur vitesse et sa variation temporelle.
– Situer qualitativement la direction du vecteur accélération dans la concavité d’une trajectoire plane.

DYNAMIQUE

Espace et temps classiques. Référentiel d’observation. Caractère relatif du mouvement.
Description d’un mouvement. Vecteur position, vecteur vitesse, vecteur accélération.
– Savoir établir les expressions des composantes du vecteur position, du vecteur vitesse et du vecteur accélération dans le seul cas des coordonnées cartésiennes et cylindriques.
– Savoir expliquer à partir d’un schéma le déplacement élémentaire dans les différents systèmes de coordonnées, construire la base locale associée et en déduire les composantes du vecteur vitesse en coordonnées cartésiennes et cylindriques.
– Savoir choisir un système de coordonnées adapté au problème posé.
Exemple 1 : mouvement de vecteur accélération constant
– Obtenir la vitesse et la position en fonction du temps. Obtenir la trajectoire en coordonnées cartésiennes.
Exemple 2 : mouvement circulaire uniforme et non uniforme
– Savoir exprimer les composantes du vecteur position, du vecteur vitesse et du vecteur accélération en coordonnées polaires planes.
– Identifier les liens entre les composantes du vecteur accélération, la courbure de la trajectoire, la norme du vecteur vitesse et sa variation temporelle.
– Situer qualitativement la direction du vecteur accélération dans la concavité d’une trajectoire plane.
Forces. Principes des actions réciproques.
– Établir un bilan des forces sur un système, ou plusieurs systèmes en interaction et en rendre compte sur une figure.
Référentiel galiléen. Principe d’inertie.
– Décrire le mouvement relatif de deux référentiels galiléens.
Loi de la quantité de mouvement (“principe fondamental de la dynamique”) dans un référentiel galiléen.
– Déterminer les équations du mouvement d’un point matériel ou du centre d’inertie d’un système fermé.
Mouvement dans un champ de pesanteur uniforme.
– Mettre en équation le mouvement sans frottement et le caractériser comme un mouvement à vecteur-accélération constant.
Influence de la résistance de l’air.
– Prendre en compte la traînée pour modéliser une situation réelle.
– Exploiter une équation différentielle sans la résoudre analytiquement : analyse en ordres de grandeur, détermination de la vitesse limite, utilisation des résultats fournis par un logiciel d’intégration numérique.
Pendule simple.
– Établir l’équation du mouvement du pendule simple.
– Justifier l’analogie avec l’oscillateur harmonique dans le cadre de l’approximation linéaire.
Lois de Coulomb du frottement de glissement dans le cas d’un solide en translation.
– Exploiter les lois de Coulomb fournies dans les trois situations : équilibre, mise en mouvement, freinage.
– Formuler une hypothèse (quant au glissement ou non) et la valider.

ASPECT ENERGETIQUE DE LA DYNAMIQUE

Puissance et travail d’une force.
– Reconnaître le caractère moteur ou résistant d’une force.
– Savoir que la puissance dépend du référentiel.
Loi de l’énergie cinétique et loi de la puissance cinétique dans un référentiel galiléen.
– Utiliser la loi appropriée en fonction du contexte.
Energie potentielle. Energie mécanique.
– Établir et connaître les expressions des énergies potentielles de pesanteur (champ uniforme), énergie potentielle gravitationnelle (champ créé par un astre ponctuel), énergie potentielle élastique, énergie électrostatique (champ uniforme et champ créé par une charge ponctuelle).
Mouvement conservatif.
– Distinguer force conservative et force non conservative. Reconnaître les cas de conservation de l’énergie mécanique. Utiliser les conditions initiales.
– Déduire d’un graphe d’énergie potentielle le comportement qualitatif : trajectoire bornée ou non, mouvement périodique, positions de vitesse nulle.
Positions d’équilibre. Stabilité.
– Déduire d’un graphe d’énergie potentielle l’existence de positions d’équilibre, et la nature stable ou instable de ces positions.
Petits mouvements au voisinage d’une position d’équilibre stable, approximation locale par un puits de potentiel harmonique.
– Identifier cette situation au modèle de l’oscillateur harmonique.
– Utiliser les résultats fournis par une méthode numérique pour mettre en évidence des effets non linéaires

PHYSIQUE DES ONDES

Exemples de signaux. Signal sinusoïdal.
Identifier les grandeurs physiques correspondant à des signaux acoustiques, électriques, électromagnétiques.

Approche qualitative de la superposition de deux signaux sinusoïdaux de fréquences voisines. Battements.

Propagation d’un signal dans un milieu illimité, non dispersif et transparent.
Onde progressive dans le cas d’une propagation unidimensionnelle non dispersive.
Célérité, retard temporel.
Ecrire les signaux sous la forme f(x-ct) ou g(x+ct).
Écrire les signaux sous la forme f(t-x/c) ou g(t+x/c).
Prévoir, dans le cas d’une onde progressive, l’évolution temporelle à position fixée et l’évolutions spatiale à différents instants.

Modèle de l’onde progressive sinusoïdale unidimensionnelle. Vitesse de phase, déphasage, double périodicité spatiale et temporelle.
Citer quelques ordres de grandeur de fréquences dans les domaines acoustique, mécanique et électromagnétique.
Établir la relation entre la fréquence, la longueur d’onde et la vitesse de phase.
Relier le déphasage entre les signaux perçus en deux points distincts au retard dû à la propagation

Milieux dispersifs et non dispersifs.
Définir un milieu dispersif (-> nous l’avons vu au tout début du chapitre A1, en début d’année !).
Citer des exemples de situations de propagation dispersive et non dispersive.

Interférences entre deux ondes acoustiques ou mécaniques de même fréquence.
Exprimer les conditions d’interférences constructives ou destructives.
Déterminer l’amplitude de l’onde résultante en un point en fonction du déphasage.

Interférences entre deux ondes lumineuses de même fréquence.
Exemple du dispositif des trous d’Young éclairé par une source monochromatique.
Différence de chemin optique. Conditions d’interférences constructives ou destructives. Formule de Fresnel.
Relier le déphasage entre les deux ondes à la différence de chemin optique.
Établir l’expression littérale de la différence de chemin optique entre les deux ondes.
Exploiter la formule de Fresnel fournie pour décrire la répartition d’intensité lumineuse.

Ondes stationnaires mécaniques. Modes propres.
Caractériser une onde stationnaire par l’existence de nœuds et de ventres.
Exprimer les fréquences des modes propres connaissant la célérité et la longueur de la corde.
Utiliser la propriété énonçant qu’une vibration quelconque d’une corde accrochée entre deux extrémités fixes se décompose en modes propres.
Relier les notions sur les ondes stationnaires avec celles utilisées en musique.